Permission To Explode (album)
Electro, Techno, IDM, Dubstep
N'appelez pas cela un retour. Si Begg est ici depuis des années, et son génie s'apprécie de façon exponentielle à chaque instant. Depuis le milieu des années 90, le producteur britannique a créé plusieurs dizaines de sorties pour des labels tels que Tresor, Fuel, le sous-label Mute Novamute et la filiale Ninja Tune Ntone. Son premier long métrage depuis Director's Cut en 2003 voit la différence : le moteur s'allume sur tous les cylindres, produisant un opus magnum d'une ambition sans précédent et d'une exécution sans précédent. L'histoire se souviendra de Permission To Explode avec beaucoup d'estime, et d'un album digne de contribuer à définir une génération. Avec plus de 90 minutes et 20 titres, l'épique est un euphémisme.
Au début de "Kosmische Stepper" (un morceau qui sonne comme son nom l'indique), il y a un enregistrement vocal qui dit : "Ils jouent un tempo, ou ils font un style. Je ne peux pas faire ça. Ce n'est pas dans ma nature". Cela pourrait être interprété comme l'énoncé...