Chaque semaine à compter du Vendredi 13 Novembre, Al’Tarba mixera ses talents à ceux d’un beatmaker ou d’un rappeur, pour une collaboration expérimentale hybride composée à 4 mains, mêlant leurs styles et leurs sons.
Faute à une immunité à l’image de notre économie - trop peu performante - la scène culturelle française a de la fièvre depuis plusieurs mois. Pas de rassemblements et peu d’éclaircies à l’horizon, c’est autant de concerts de moins pour réchauffer l’atmosphère grisâtre. Mais quelque part dans l’Hexagone, on peut encore entendre le bruit de certaines machines rompre un silence de plomb. Dans un studio-laboratoire aux allures de « Cabinet des Curiosités », où s’entassent les idées farfelues sur autant d’étagères dépoussiérées, Al’Tarba et ses instruments, eux, tournent à plein régime.
Certes, l’album « La Fin des Contes » devra attendre de meilleurs auspices pour embrasser son public impatient. Mais soucieux de trouver l’antidote, une poignée d’irréductibles rappeurs, chan...