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Parce qu’il existe toutes ces pensées qui nous semblent trop intimes pour être dévoilées. Que l’on préfère taire, souvent aux gens qu’on aime. Que l’on préfère enfouir au plus profond de nous, quitte à ce qu’elles finissent par nous noircir. Et pourtant, il suffit parfois d’une rencontre.
Une rencontre hasardeuse, entre deux personnes. Pourquoi par sur un banc, dans un parc. Un endroit ou un autre, où peut arriver ce moment rare où l’on accorde sa confiance, où l’on se dévoile à l’autre librement. Il est tellement plus simple d’avouer l’inavouable à quelqu’un que nous ne connaissons pas, pensant peut-être que nous ne nous reverrons plus.
Et de ces confidences, nait un échange. Celui d’une chanteuse et d’un producteur, à l’abri - iels l’espèrent- des regards indiscrets. En se nourrissant de leurs états d’âmes, le duo passionné évolue et dessine, en parallèle d’une relation humaine fleurissante, les contours d’un projet musical. Sorte de Yin et Yang entre nu-soul et alternative R&B, où s’illustre avec sincérité la passion, la douleur, le plaisir, l’angoisse. Le tout, en juste harmonie, par le rythme et les mots pour exprimer leurs tourments, comme un écho à notre propre histoire.
KOÏÏ joue sur le fragile équilibre de la tension des contraires. Sillonnant dans les eaux troubles de l’intime et ses secrets, elle et lui dévoile un projet explorant toute la poésie des vulnérabilités humaines. En gardant précieusement leur anonymat, le duo nous invite à former un trio avec nous, pour entrer dans la confidence. La dernière part d’ombre, restant leur identité…
Et de ces chuchotements et autres cris du coeur, naîtrons, inévitablement, les rumeurs.
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